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[Sanitaire] REGA

lun. 02 févr. 2004

Le temps d’une journée complète, 24 heures s’est glissé dans la vie d’une équipe de sauveteurs volants. A la base aérienne de Lausanne, le samedi s’est achevé dimanche à 3 h 30 du matin. Après cinq interventions.




Samedi matin, 8 heures, aérodrome de la Blécherette. Beau temps, belle neige. Dans l’air flotte la promesse d’un superbe week-end. Ce qui augmente d’autant la probabilité des accidents. Aux yeux des sauveteurs de la Rega, la journée s’annonce «potentiellement chargée». Mais il n’y a pas de règle. Ou plutôt si. Une seule: être prêts à décoller.

Un engin rouge et blanc au cockpit de verre trône dans le hangar. Si rutilant qu’il semble ne jamais avoir servi, ou juste pour la parade. En réalité, il a volé des centaines de fois depuis sa mise en service en mars 2003, nous apprend Laurent Riem, l’un des trois pilotes de la base de Lausanne. C’est un Eurocopter EC-145, une merveille de technologie, une salle de soins intensifs volante.

Tout juste sorti de la douche, après quelques heures de sommeil dans l’une des trois chambres à coucher du «lieu de vie» situé à l’étage, Laurent Riem est prêt à reprendre les commandes. L’assistant de vol Philippe Nidegger, lui, n’a pas dormi ici. Il vient de prendre sa garde. Déjà vêtu de sa combinaison rouge, le «paramédic à tout faire» prépare la machine et le matériel médical: de l’électronique de bord à la trousse d’intubation, il contrôle tout en prévision de la prochaine intervention. On peut être appelé dans la minute qui suit, comme ne pas décoller de la journée. Rega 4 (c’est le nom de la base de Lausanne) intervient entre zéro et huit fois par jour.

Comme au chalet

Le changement d’équipe se fait en douceur. Christophe Perruchoud, le médecin «entrant», prépare son équipement. A l’étage, le Dr Pascaline Jolivet a largement terminé son service, mais elle ne s’en ira qu’après avoir déjeuné avec ses collègues de piquet pour les prochaines vingt-quatre heures. L’ambiance est détendue, conviviale, le temps s’étire: «Passe-moi le beurre.» Avec toute cette neige alentour, ce ciel bleu, cette terrasse au soleil, ce plafond boisé, on se croirait au chalet, entre amis. Le téléphone sonne à côté du pilote: «C’est la météo.» Nouvelle sonnerie: «Cette fois, c’est pour nous.» Fausse alerte, quelqu’un s’est encore trompé en composant le numéro de Radio-Framboise. On se marre.

Sont-ils réellement calmes ou font-ils comme si? «C’est vrai que c’est un peu usant ce stress permanent qui plane», concède Laurent Riem, 13 ans de maison: «Mais celui qui est toujours sur les nerfs ne peut pas faire ce job très longtemps.» A 11 heures, la centrale d’alarme de Zurich appelle pour une mission secondaire: transfert de patient du CHUV vers Saint-Loup à 13 heures. Le rendez-vous peut être déplacé. Il le sera.

Car à 12 h 05, alors que l’eau frémit pour les spaghettis, le 144 engage Rega 4 sur une mission primaire: accident de snowboard, col de Jaman, patient conscient. Le trio de sauveteurs descend les escaliers métalliques, s’équipe de pied en cap. Le médecin se prépare pour un treuil, «au cas où». L’hélico est sorti au moyen d’un chariot télécommandé, comme un gros joujou.

Accélération

L’équipe est de retour à la base vers 14 heures, l’estomac vide. Le snowboarder est au CHUV. On prépare la machine pour la suite, puis on songe à manger. A table, on revient sur l’intervention: la neige trop molle pour se poser, l’hélico qu’il a fallu faire passer sous le câble du téléski, la «belle chute» du blessé... C’était une mission facile: «La plupart du temps, on ne se pose pas trop de questions, on est appelés, on y va, on sait exactement ce qu’on a à faire», explique Philippe Nidegger, mais il y a des situations plus dures que d’autres émotionnellement. Le plus poignant, le plus difficile, c’est la famille autour. Ça aussi il faut gérer, prendre en charge.»

Peu avant 16 heures: «Piéton renversé à La Neuveville. Normalement c’est Berne qui y va, mais ils sont sans doute déjà engagés ailleurs.» On repart. Temps de vol estimé à vingt minutes. Pour gagner du temps, le médecin prépare ses seringues et tout ce qu’il faut pour intuber. Sur la chaussée, le patient est inconscient, âgé, polytraumatisé. Il sera héliporté à l’Insel Spietal de Berne dans un état critique, sous la surveillance constante du médecin de la Rega qui sue à grosses gouttes en s’activant devant les écrans de contrôle.

A 17 h 31, Rega 4 est de retour à la base. On fait le plein, on rentre la machine, on remet tout en état. La nuit est tombée, il se met à pleuvoir. A 18 h 20, il faut repartir: enfant en arrêt respiratoire, noyé dans une baignoire. 19 h 55: les sauveteurs reviennent les traits tirés, silencieux. Le bébé a été réanimé, il a retrouvé un rythme cardiaque durant son transport, mais dans quel état est son cerveau?

22 h 40. Nouvel appel. C’est Zurich. Laurent Riem jette un coup d’œil par la fenêtre: «Oui, on peut.» On peut, car on voit les lumières de l’usine de Pierre-de-Plan, les crêtes des Alpes et la France. Destination: l’Hôpital de Thonon pour un transfert de patient vers le service de neurochirurgie du CHUV. La nuit sera courte: à 2 heures du matin, Rega 4 vole vers Aclens au secours d’un jeune motocycliste heurté par un automobiliste.

Hier matin à 10 heures, le Dr Christophe Perruchoud quittait la base avec un grand sourire, satisfait du travail accompli: «Tout a bien fonctionné. La journée a été un peu plus chargée que la moyenne, très intéressante du point de vue professionnel. Nous avons eu des patients de 1 an à 70 ans, des pathologies et des lieux d’intervention extrêmement variés.»

JOËLLE FABRE


Nombreux sauvetages aériens en montagne

BILAN DU WEEK-END
120 missions pour la Rega, 38 pour Air-Glaciers, 14 pour Air Zermatt.

Les sauveteurs ont beaucoup volé ce week-end. En dépit du redoux et des imprudences humaines, aucune avalanche n’a été déclenchée. Cependant, le beau temps a attiré les grandes foules en montagne, sur et hors les pistes. Hier à 17 heures, la centrale d’intervention de la Rega à Zurich avait compté plus de 120 missions entre samedi et dimanche, dont 86 pour les sports d’hiver. «C’est extrême, commente le chef de presse Walter Stünzi, en regard de notre moyenne journalière qui est de 30 interventions.» En Valais romand, Air-Glaciers est intervenu 38 fois et qualifie cela de «normal» compte tenu des bonnes conditions météo et du degré de remplissage des stations.

En Haut-Valais, Air Zermatt a vécu un samedi assez calme (3 missions) et un dimanche plus chargé: 11 interventions, surtout pour secourir des skieurs et des snowboarders.

Jo. F.


vu sur le site 24 heures

raptor
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lun. 02 févr. 2004

à notre dernière inspection, nous avons eux la chance de travailler avec la réga et son nouvel appareils l'eurocopter, nous avons aussi été autorisé, lorsque l'appareil c'est mis en phase d'envol, à nous mettre devant le nez de l'appareil pour voir la puissance du souffle des pales

c'est vraiment un magnifique engin, et au moins, les secouristes risquent moins les accidents car le blessé est chargé par l'arrière de l'hélicptère, et non plus sur le côté, et l'appareils est plus haut

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lun. 02 févr. 2004

Il a surtout beaucoup plus de place... :D Avant, ils n'arrivaient même pas à charger un chien d'avalanche dans le 109K2!!

Par contre, au niveau performance en altitude, ça reste encore à prouver.
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raptor
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lun. 02 févr. 2004

La Rega vient de fêter son jubilé

C'est à Douanne, sur les rives du lac de Bienne, qu'a été fondée la Garde aérienne suisse de sauvetage, le 27 avril 1952, soit voici un peu plus de cinquante ans. Fondation privée à but non lucratif, reconnue d'intérêt public, elle s'inspire dans son fonctionnement des principes fondamentaux de la Croix-Rouge, dont elle est membre corporatif. Elle vise ainsi à porter secours aux personnes en détresse, quelles que soient leur situation, leur solvabilité, leur position sociale, leur nationalité, leur religion ou leurs opinions politiques; elle intervient, dès qu'elle peut sauver des vies humaines ou préserver l'intégrité physique des personnes. Son siège et sa centrale d'intervention (que chacun peut alerter 24 h sur 24 en composant le 1414) sont installés à l'aéroport de Kloten. Les responsables d'opérations décident, au cas par cas, de la nécessité d'une mission, en concertation avec leurs partenaires: policiers, Club Alpin, pompiers, etc… L'équipage de chaque hélico compte un pilote, un sauveteur et un médecin. La Rega dispose de dix bases et de trois sites partenaires, répartis sur l'ensemble du territoire - dispositif lui permettant d'atteindre tout point en quinze minutes au plus, à compter de l'alarme. Quant à la nature de ses interventions, elle varie selon la situation des différentes bases. Une base de plaine, telle Lausanne, est essentiellement sollicitée lors d'accidents de la circulation ou du travail et en cas d'urgence médicale, alors que les bases d'altitude interviendront davantage, à l'occasion de sauvetages en montagne, d'accidents de ski, d'opérations de recherche ou d'évacuations. Toutes effectuent en outre des missions dites secondaires: transferts de patients ou d'organes, à destination d'un centre hospitalier spécialisé. Enfin, la Rega remplit une fonction moins connue du public, consistant à porter secours aux paysans de montagne; elle peut être amenée à intervenir en cas de catastrophe naturelle. Présente, depuis plus de vingt ans en Suisse romande, avec sa base lausannoise de Rega 4 et ses partenaires genevois de Rega 15, l'institution est au cœur du réseau occidental d'urgence. Depuis sa première intervention, en septembre 1979, le rythme de la base vaudoise n'a cessé de s'accélérer, pour approcher les mille missions annuelles. Celles-ci ont désormais, pour cadre, l'ensemble des cantons romands et la France voisine. Tout au long de l'année 2002, le jubilé de la Garde aérienne suisse de sauvetage a rencontré un immense succès populaire, attirant plus de 72 000 personnes à l'occasion de journées portes ouvertes. Cet intérêt n'est pas le fruit du hasard : c'est, en effet, grâce aux contributions de plus de 1,6 million de donateurs que la Rega existe, sans aucun subventionnement étatique.

Renouvellement de la flotte

Les équipages lausannois de la Rega ont pris congé avec gratitude de "Whisky Delta", le fidèle Agusta qui les a accompagnés pendant une dizaine d'années, pour prendre livraison, non sans fierté, d'un des hélicoptères les plus performants actuellement sur le marché. L'Eurocopter EC 145, officiellement livré le 4 avril , à la base de La Blécherette (Rega 4), est le deuxième engin de ce type à atterrir en Suisse, sur les cinq modèles commandés au constructeur européen. Quatre seront opérationnels en permanence - le cinquième permettant d'assurer la maintenance - et stationnés sur les bases de Berne, Bâle, Zurich et Lausanne. Ils remplaceront progressivement six Agusta A-109-K2, vieux de dix ans. Moins polluants et plus silencieux, ces hélicos de la dernière génération bénéficient aussi d'une meilleure sécurité et d'un accroissement du volume de la cabine, ainsi que des dernières innovations en matière d'appareillage médical. Outre les hélicos, la Rega a également fait l'acquisition, en début d'année, de trois nouveaux avions-ambulances Canadair Challenger CL-604, voués à remplacer deux Hawker et un Challenger CL-601, vieux de quinze ans.

raptor
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lun. 02 févr. 2004

Aide-mémoire pour demande de secours par SMS
Dans les situations d’urgence, l’aptitude de l‘alarme par SMS n'est que très restreinte.

· Les installations pour SMS comme pour les téléphones mobiles ne sont pas conçues pour faire office de systèmes de sécurité et, en tant que telles, ne constituent pas de moyens de communication fiables. Les problèmes de la téléphonie sans câble sont également applicables pour les transmissions de SMS (accessibilité [„trous radio“, couverture de systèmes], état de l’accumulateur du téléphone mobile, surcharge des systèmes, etc.).

· A partir de l’envoi du message jusqu’à son arrivée à destination, des heures, voire des jours peuvent s’écouler; certains SMS n’atteignent jamais leur destination.

· Afin d’être en mesure de prendre une décision et d’organiser un secours efficace, la centrale d’alarme nécessite, en général, de diverses informations complémentaires. Une réponse par SMS de la centrale d’alarme au demandeur de secours engendre des retardements supplémentaires.

Pour l’alerte, il est donc préférable de choisir, si possible, la communication la communication verbale (téléphone à raccordement fixe ou téléphone mobile (Natel, Handy), ou radio d’urgence – Canal E, 161.300 MHz). La communication verbale permet de constater immédiatement si la connexion a été faite ou non et permet de répondre immédiatement aux questions.

Si toutefois la communication verbale (téléphone ou radio) est impossible, le SMS devrait tout de même être utilisé. Il est préférable d’utiliser un système pas optimal que de ne rien faire du tout!

Une alerte via SMS est sensée si la communication téléphonique ou par radio est impossible pour les raisons suivantes:

· La personne qui demande du secours ne peut, à cause d’une infirmité, parler ou entendre.

· La personne qui demande du secours ne peut, suite à une blessure, plus parler ou entendre.

· Il n’existe aucune autre personne disponible qui pourrait se charger d‘une communication verbale

· La couverture GMS est insuffisante pour une communication verbale, suffit toutefois pour un SMS*)

· L’état du chargement de l’accumulateur est très faible*)

*) Remarque quant aux 2 derniers points: les transmissions de données (lettres et signes) nécessitent bien moins d’énergie que les aux communications verbales.

Si l’alerte est uniquement possible par SMS, écrire alors un SMS et l’envoyer au

numéro de secours de la Rega 1414 (Suisse et étranger)

Un texte préparé à l’avance peut être enregistré dans une multitude d’appareils et être seulement complété lors d’un cas d’urgence.

Le SMS doit comprendre les indications suivantes:

1. Propre numéro de téléphone - Il existe des systèmes et des appareils transmettant automatiquement le propre numéro de téléphone (p.e.x. réglages du téléphone „Transmettre le propre numéro de téléphone: OUI“). Souvent, la transmission automatique du propre numéro de téléphone ne fonctionne pas à l’étranger!. Un rappel téléphonique pour l’obtention de renseignements complémentaires est uniquement possible grâce à la transmission du propre numéro de téléphone (aussi par SMS).

2. Lieu précis de l’accident - (coordonnées, éventuellement indications précises des lieux). Un repérage technique, pour autant qu‘il soit possible, (relèvement du téléphone mobile) représente un travail considérable (temporel et technique). Souvent un repérage est impossible!

3. Numéro de téléphone d’un(e) ami(e), si possible ayant connaissance des activités de la personne en détresse, p.ex. parcours de randonnée, routes de voyage etc.).

4. Nature du problème - (genre de secours requis (sanitaire, pompiers, police), genre de blessures, situation etc.).

5. (Nombre de patients)

6. (Conditions météorologiques)

7. (Genre de l’accident)

8. (Equipement du patient)

Les points 1, 2, 3 et 4 sont indispensables pour les secours à porter, les autres indications peuvent, en outre, contribuer de façon déterminante à la venue rapide des secours adéquats sur les lieux. En cas de besoins, la Rega fait appel à des organisations régionales pour une constatation ou leur demande directement de l’aide.

Si le nombre limité de signes pour la transmission des informations requises ne suffit pas (max. 160 signes par SMS), écrire alors un deuxième SMS complémentaire.

A l’étranger le soutien à partir de la suisse peut être restraint.

Le téléphone mobile (Natel, Handy) doit impérativement resté en marche jusqu’à l’arrivée des secours

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lun. 02 févr. 2004

Fireco79 a écrit :Il a surtout beaucoup plus de place... :D Avant, ils n'arrivaient même pas à charger un chien d'avalanche dans le 109K2!!

Par contre, au niveau performance en altitude, ça reste encore à prouver.
non, je crois que pour l'altitude il doit être à peu près le même que pour l'augusta

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mer. 04 févr. 2004

Si c'était le cas, il y a longtemps que la REGA se serait décidée à remplacer les A109K2. Or pourquoi n'ont-ils toujours pas choisi de remplacant à l'Agusta pour les bases de montagne... :?: :?:
Joël
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mer. 04 févr. 2004

un hélico eurocopter, 5,9 million pièces, je crois que pour changer toute la flotte, il en faudrait du temps et de l'argent, mais je n'ai rien trouvé sur le plafond d'intrevention de cet hélicoptère, mais il faut aussi voir si il vraiment utile en montagne ;)

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jeu. 05 févr. 2004

Ayant discuté avec l'un des pilotes, il m'a dit que les perfs en montagne n'étaient pas aussi bonnes qu'avec l'Agusta.
Joël
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jeu. 05 févr. 2004

Fireco79 a écrit :Ayant discuté avec l'un des pilotes, il m'a dit que les perfs en montagne n'étaient pas aussi bonnes qu'avec l'Agusta.

merci fireco ;)

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mar. 18 avr. 2006

ils ont quand-même gardé quelques Agusta? non?

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mar. 18 avr. 2006

Oui, bien sûr. La majorité des appareils sont encore des Agusta A109.

Seuls 5 EC145 sont en service à l'heure actuelle.
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mer. 19 avr. 2006

Ils ont gardé les Agusta pour les bases de montagne d'après ce que j'avais lu.
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MuffDiver
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jeu. 20 avr. 2006

Salut,

Il me semble que Air Zermatt ont un EC135 ? Par contre je ne sais pas le différence de performance avec un EC145.

(PAS SERIEUX-ON)
Personnellement j'aurais bien apprécié que REGA 4 (Lausanne) s’équipent d’un EC135 car avec son anti-couple caréné il est bien plus silencieux. Et comme les gentils pilotes ils aiment bien passer juste au dessus de ma maison pour aller sur la côte ben je profite quotidiennement (et nuitamment) du ballet des hélicos.
(PAS SERIEUX-OFF)

Sauf erreur de ma part c'est un ventilateur de la famille des EC135 qui s'est posé sur le sommet de l'Everest en 2005. Bon dixit Eurocopter il était pas traffiqué mais j'ai de la peine à y croire (J'ai le film mais il fait 12 megs je sais pas comment le mettre en ligne).

Joël aurais-tu des infos ?

A+

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