mar. 03 oct. 2006
Tout reste à confirmer, mais actuellement en phase de test dans certaines communes, celà se passe à peu près comme celà:
Une équipe est de piquet de 19h à 7h et les week-end. En dehors, c'est quand même le SIS qui intervient. Il doivent pouvoir être au dépôt très rapidement (10 minutes, mais chuis pas sûr), donc totalement disponible.
Toutes les interventions demandant une intervention rapide restera en priorité au SIS. Les interventions n'étant pas critique au niveau temps seront du ressort des volontaires tel que les petits feu ouvert (feu de broussailles, de poubelle qui ne sont pas dans un local), les inondations, les nid de guèpes, les sauvetage d'animaux, si il n'y a pas de signe d'urgence.
Lors du départ pour un feu confirmé ou départ en renfort, les hommes du piquets sont alarmés en même temps. Ils se rendent à leur dépôt. L'officier de piquet lui garde les même tâches et se rend directement sur place. C'est lui qui confirmera le départ de ses hommes/femmes si nécessaire.
C'est le téléphoniste de la CETA qui reçoit de toute façon les appels et qui dispatchera sur des bips et/ou le SMT. Ce qui est sûr, c'est que toutes les communes fonctionnerons de la même manière. La CETA ne peux pas gérer 45 cas différents.
La seul exception à ce jour, est les volontaires du Bataillon. Le SIS faisant partie du Bataillon, c'est eux qui assurent les piquets pour la Ville de Genève...
J'espère que c'est pas trop confu, et il y a sûrement encore plein d'autre détails.