Ce qui me gêne, c'est que l'on se trouve devant le fait accompli, c'est-à-dire que les solutions pour s'en sortir ne contenteront personne (un nouveau numéro, d'accord, mais comme le 118 devra rester en vigueur encore quelques années, le problème des appels intempestifs n'ira pas tellement plus loin), et que personne n'aura eu son mot à dire à part l'OFCOM qui aura pris des décisions bureaucratiques.
Si la transition avait pu se faire en douceur et dans un concept accepté par tout le monde, cela aurait pu être très bénéfique, mais là...
